
Je suis
Isaure VENITE ROSSI
Je porte la conviction que, quels que soient les changements et les transitions qui traversent nos vies, les émotions suscitées par notre parcours doivent se vivre et s’accueillir avec bienveillance et amour de soi. Le soulagement ne passe pas par la négation de notre peur ou de notre souffrance, mais bien par l’acceptation de ces sentiments. La résilience est l’une de nos plus précieuses ressources. Nous sommes tous conçus «résiliants».

Un peu de mon histoire, une histoire de changements
Au fil des saisons de ma vie, j’ai accumulé plusieurs chapeaux, ce qui fait que ma personnalité comporte plusieurs facettes. De fille à sœur, d’épouse à mère, puis professionnelle et entrepreneure… Chaque chapeau marque une étape de mon évolution. Je suis fière de cette pluralité qui fait de moi qui je suis aujourd’hui.
Transitions et résilience
Des transitions de vie et des changements, j’en ai connu des heureux (mon mariage, la naissance de mes enfants, un changement de pays) et des moins faciles (la perte de mon père). Chaque expérience a été unique et m’a propulsée à une place différente, mais toujours plus près de moi.
Émotions et vulnérabilité
Vivre un changement, une transition, c’est expérimenter une multitude d’émotions allant de l’excitation à l’insécurité ou encore à l’appréhension liée à l’inconnu. Vivre un changement et vivre tout court peut raviver des zones vulnérables.
Reconnaissance et acceptation des émotions
Mes zones sensibles, moi, je les ai très longtemps réprimées parce que je ne savais pas identifier mes malaises et encore moins répondre à mes besoins pour les apaiser. En fait, je n’étais pas connectée avec moi-même… Ma tendance était de me refermer sur moi-même, de me couper de mes émotions, de déserter les relations, de blâmer l’autre.





Le jour où tout a basculé
Navigant de déni en évitement, il y a cinq ans, ma boussole intérieure s’est affolée. J’avais atteint un trop plein de non-dits qui m’asphyxiait. Je revois le jour où, seule, assise dans un coin de ma chambre, j’ai ressenti une grande solitude et le sentiment d’être perdue, de m’être perdue de vue. Mon désarroi était tel, qu’à ce moment je n’imaginais que deux issues possibles: la folie ou la mort. Ma résilience m’a ramenée à la raison et m’a fait opter pour la vie.
C’est alors que j’ai entamé un cheminement personnel en thérapie où j’ai pu écouter ma souffrance. J’ai pris conscience des peurs (rejet, abandon) et du sentiment de culpabilité qui m’habitaient et qui déclenchaient ce sentiment d’insécurité que je dissimulais derrière une belle «fausse» assurance ou un isolement relationnel, mes moyens de défense.
En prenant le temps d’observer en toute honnêteté mes réactions (mécanismes défensifs), en m’arrêtant pour toucher à la peine que je ressentais, en l’accueillant même, je suis parvenue à identifier ce qui déclenchait mes malaises intérieurs (mon vécu émotionnel) et, à partir de là, à nommer mes besoins. Dès lors, mon véritable changement a pu commencer. J’ai récupéré le pouvoir de changer et de faire la paix avec mon histoire, moi-même et mes relations. J’ai reconstruit une sécurité intérieure.
Aujourd’hui, plus que jamais, je sais à quel point il est important d’accueillir nos émotions et de les écouter afin de pouvoir cheminer.
Navigant de déni en évitement, il y a cinq ans, ma boussole intérieure s’est affolée. J’avais atteint un trop plein de non-dits qui m’asphyxiait. Je revois le jour où, seule, assise dans un coin de ma chambre, j’ai ressenti une grande solitude et le sentiment d’être perdue, de m’être perdue de vue. Mon désarroi était tel, qu’à ce moment je n’imaginais que deux issues possibles: la folie ou la mort. Ma résilience m’a ramenée à la raison et m’a fait opter pour la vie.
C’est alors que j’ai entamé un cheminement personnel en thérapie où j’ai pu écouter ma souffrance. J’ai pris conscience des peurs (rejet, abandon) et du sentiment de culpabilité qui m’habitaient et qui déclenchaient ce sentiment d’insécurité que je dissimulais derrière une belle «fausse» assurance ou un isolement relationnel, mes moyens de défense.
En prenant le temps d’observer en toute honnêteté mes réactions (mécanismes défensifs), en m’arrêtant pour toucher à la peine que je ressentais, en l’accueillant même, je suis parvenue à identifier ce qui déclenchait mes malaises intérieurs (mon vécu émotionnel) et, à partir de là, à nommer mes besoins. Dès lors, mon véritable changement a pu commencer. J’ai récupéré le pouvoir de changer et de faire la paix avec mon histoire, moi-même et mes relations. J’ai reconstruit une sécurité intérieure.
Aujourd’hui, plus que jamais, je sais à quel point il est important d’accueillir nos émotions et de les écouter afin de pouvoir cheminer.
Alors, félicitations !
Si vous êtes sur ma page, c’est que vous êtes déjà sur votre chemin de croissance. Et je serai présente à vos côtés pour vous accompagner dans cette aventure fantastique qu’est la quête de soi, cette connaissance de vous-même qui va vous amener à explorer les magnifiques ressources qui sont les vôtres afin de rallumer votre étincelle.